La Fédération Française d’Equitation assure une mission de service public. Elle coordonne et régule les activités équestres en France. Elle a délégation du Ministère des Sports pour le développement des pratiques, de la formation et de la compétition. Au travers des adhérents clubs, elle s’attache à proposer un projet équestre à chaque cavalier.
Pédagogie de la réussite
La Fédération Française d’Équi- tation favorise la pédagogie de la réussite fondée sur l’apprentissage par objectifs. L’aménagement du milieu, l’utilisation du jeu créent des mises en situation qui rendent le cavalier acteur de sa formation. Cette équitation douce facilite l’appropriation rapide des connaissances et des savoir-faire.
Un atout pour la santé
L’attrait des poneys et des chevaux incite un grand nombre de Français à pratiquer un loisir sportif qui est bon pour leur santé. Sport de plein air, l’équitation permet de s’oxygéner. Sport doux et symétrique, il permet un bon entretien physique. Sport individuel qui se pratique en groupe, il permet de développer des relations sociales bonnes pour le moral.
Un facteur d’animation des territoires
Les activités équestres contribuent à la préservation des paysages et à la sauvegarde des territoires ruraux en proposant une activité de proximité en relation avec la nature. Les animations ouvertes au public que proposent régulièrement les clubs et les organisateurs de manifestations équestres sont un facteur de rayonnement des communes où ils sont implantés.
Un atout pour l’économie
L’équitation est un atout important pour l’économie de la société française. Plus il y a de cavaliers, et de chevaux, plus il faut d’infrastructures, de matériels et de services spécialisés.
L’activité équestre draine ainsi des professions diverses et de nombreux emplois autour des équipements, des services et des soins aux animaux.
L’engouement des français
Selon l’enquête 2011 de la TNS SOFRES, 2,2 millions de personnes déclarent monter à cheval ou à poney et 14 millions de Français disent avoir l’intention de le faire…